Une bombe à retardement
Effectivement, il y avait une crainte au
niveau des incendies dans ce quartier, où résidait, juste à coté de l’école
des filles, dans la rue Nuyens, une petite
entreprise qui portait le nom de Parias. Elle comprenait
une vingtaine de camions citerne, transportant ce fluide indésirable mais
important à la vie du déplacement quotidien de tous. Pour nos véhicules
évidement et autres transports en commun. Malgré la caserne des
pompiers de la Benauge sur le qui-vive , il régnait une crainte tacite. Tous
guettions le moindre feu qui se déclarait à l’horizon. Pour cela j’ai
réalisé, une pierre montrant une idée de flambée derrière la tête.